Le réfugié marche sur la lisière. Il a envie de tomber mais il se retient. Il se dirige vers l'asile qu'il n'a jamais vu, vers le refuge qu'il se fera lui-même, si on lui en laisse le temps. Le monde est grand, mais terriblement surveillé.
Le réfugié marche sur la lisière. Il a envie de tomber mais il se retient. Il se dirige vers l'asile qu'il n'a jamais vu, vers le refuge qu'il se fera lui-même, si on lui en laisse le temps. Le monde est grand, mais terriblement surveillé.
RépondreSupprimer